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[Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre]

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MessageSujet: [Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre] [Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre] EmptyMar 12 Juil - 9:53

    New York était réellement une ville qui, comme le disait la fameuse légende circulant à travers le reste du monde, chez les gens qui n'avaient pas encore eu la chance... ou pas, ça dépendait de comment on voyait cette ville... poser le pied dans cette immense forêt de fer et de béton, ne dormait jamais. Même durant cette nuit, à l'heure la plus tardive, comme c'était le cas au moment même où débute notre histoire... une nuit ma-fois plutôt splendide, il fallait l'avouer. Une nuit donc pas même la couche habituelle de pollution ne réussissait à en altérer la beauté, une nuit où aucun nuage sombre ne venait briser les lueurs formaient par une multitude d'étoiles qui scintillaient dans le ciel nocturne, semblant observer les mortels depuis leur perchoir céleste, et rire de leur simplicité, de leur taille ridicule comparé au reste de l'univers. Le spectacle qu'observaient les étoiles de cette ville étaient le ballet habituel des travailleurs nocturne, des taxis dans leurs voitures jaunes, des livreurs dans leurs camions, en direction des aéroports, des supermarchés ou autre surface qui attendaient avec impatience de recevoir ce qui permettait de faire tourner leur boutique... celui d'adolescents, qui fêtaient la fin de leurs études à travers les bars et les discothèques ouverts la nuit, profitant d'un moment entre amis et buvant jusqu'à n'en plus pouvoir de cette boisson qu'adoraient les humains, mais qui pouvait les rendre fous... il y avait même là quelques animaux qui vivaient durant la période de la sphère d'argent, tel des renards de villes qui farfouillaient dans les poubelles et se battaient avec des chats, ou des chauves-souris qui quittaient les greniers des plus vieux buildings pour attraper un ou deux moustiques, et entamer leur danse nuptiale. Et oui, New York ne s'arrêtait jamais, car ses habitants ne s'arrêtaient jamais, à croire que personne ne voulait prendre cinq petites minutes pour se détendre et regarder les étoiles... sauf, bien-sûr, la créature que je vais incarner à travers mes posts...
    Le lézard géant de garde de l'institut Charles Xavier, une mutant animale mieux connue sous le nom de Rexia, venait de revenir de cette même ville, justement, après s'y être fait une petite promenade nocturne à travers les toits. Les humains n'étaient pas des êtres aveugles, mais ils ne levaient jamais les yeux, et personne ne l'avait remarqué. Bien qu'elle soit une créature diurne, cette nuit-là et malgré l'heure tardive, elle n'était pas du tout fatiguée, et elle en avait même profitée pour se faire une petite chasse... ça faisait longtemps que la prédatrice n'avait pas ressentie le goût d'un gibier qu'elle avait elle-même tuée, et la traque lui avait manqué un peu. Honnêtement, lorsqu'on tuait sa propre nourriture, ça n'avait vraiment pas le même goût que lorsqu'on se faisait servir. D'ailleurs, bien qu'elle soit repue, on pouvait voir que cette grosse gourmande... attention, ne prenait jamais le risque de lui dire ça en fasse... tenait encore la carcasse d'un dernier chien errant dans sa gueule, tendis qu'elle sautait par-dessus la clôture de ce qu'elle considérait comme son territoire. Elle avait l'intention de le grignoter un petit peu, en se détendant, avant qu'elle n'aille finalement dans son nid, un grand creux qu'elle avait elle-même creusée de ses propres griffes, dans un coin du parc, et qu'elle avait rembourrée avec une litière de feuilles mortes, de pailles et de quelques morceaux de ses anciennes mues. Et, pour aller se détendre, c'était plutôt simple, pour la créature aux écailles flamboyante : elle continua à grimper, jusque sur le toit de l'institut...
    ... et là, couchée tout près de la cheminée qui ne fumait pas, cette nuit-là, les pattes-avant croisées, près des restes du dernier chien qu'elle avait emportée avec elle, la jeune chasseresse se contentait de garder le cou bien droit et le museau pointé en direction des étoiles, les constellations se réfléchissant dans ses yeux doré. Un vent frai nocturne de saison venait de se lever, la caressant tout doucement. Pour Rexia, il n'y avait pas plus beau spectacle à travers le monde que celui de ces petits diamants brillants, plantés au sommet de la voûte du ciel, ni de plus agréable que de ressentir un petit courant lui chatouiller les écailles. Observer les étoiles avaient pour effet de l'apaiser, de lui faire temporairement oublier ses soucis, ses questions, comme si ceux-ci s'étaient fait emporter par le vent, et de la plonger en transe, dans une sorte de demi-sommeil agréable... oh, elle ne dormait pas vraiment, mais si son corps était toujours bien présent sur le béton froid et dur du toit de sa "maison", son esprit était loin, très loin du monde réel, volant à travers la galaxie formait par ses rêves, ses souvenirs, ainsi que son imagination...
RexiaProtectrice de l'InstitutRexiaMessages : 10
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MessageSujet: Re: [Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre] [Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre] EmptyJeu 21 Juil - 17:18

Encore une nuit sans sommeil. Charles Xavier se retourna dans son lit pour la énième fois. De multiples pensées l’empêchaient de dormir depuis quelques heures. L’institut se peuplait peu à peu de mutants venant de divers horizons, et cela le réjouissait, mais il n’était pas encore complètement satisfait. Il avait tellement de projets qu’il souhaitait voir aboutir. Il souhaitait que cela aille plus vite. Beaucoup plus vite.
Le professeur songea un moment aux derniers venus. Parmi eux il y avait même une recrue pour le moins spéciale à laquelle il avait confié le rôle de gardienne de l’institut, s’assurant ainsi de la sécurité de ses élèves, dont la plupart ne maitrisaient pas encore bien leurs pouvoirs et ne pouvaient donc pas forcement se défendre en cas de nécessité.
En pensant à la gardienne Charles laissa son esprit partir à sa rencontre presque inconsciemment. Dormait-elle ? A première vue, elle semblait paisible. Charles s’apprêtait donc à orienter ses pensées vers autres chose lorsqu’il remarqua que Rexia, en réalité, ne dormait pas. Tout au plus elle rêvassait.

Intrigué, il sorti de son lit et enfila rapidement un pantalon en lin noir ainsi qu’une chemise bleu pâle. Dans les couloirs déserts et obscurs, il déambula quelques minutes, se laissant guider par les ondes qui émanaient de Rexia. Il comprit sans mal qu’elle se trouvait actuellement sur le toit de l’institut. Sans doute était-elle, comme lui, en proie à quelques insomnies. Il n’avait pour l’instant pas encore prit le temps de vraiment faire connaissance avec cette habitante inhabituelle de son manoir et s’en était tenu à leur premier contact, trop occupé par tous les entrainements intensifs qu’il prodiguait chaque jour, ainsi que par le recrutement des nouveaux mutants. Pourtant, il ne doutait pas que la gardienne renferme un immense-sans mauvais jeu de mot- intérêt. Aussi, il saisit cette occasion d’avoir enfin une petite discussion en tête-à-tête avec elle.

Charles émergea sur le toit par une petite échelle de secours. L’air frais éveilla définitivement ses sens, et il se prit à douter sérieusement de pouvoir dormir cette nuit là. Un léger vent soufflait et il n’y avait, sur le parc entourant l’institut, presque aucun bruit. Seul deux ou trois créatures nocturnes se faisaient entendre de temps à un autre. Un hibou qui partait chasser pour ses petits. Une chauve-souris qui passait non loin et brassait l’air de ses ailes. Charles prit quelques secondes pour profiter de ce calme apaisant.
Il n’eut aucun mal à repérer Rexia, qui ne se fondait pas vraiment dans le décor vu sa taille imposante. Etrangement, il hésita quelques secondes avant d’aller la voir. Son esprit semblait apaisé et il redoutait de rompre cette apparente tranquillité.
Son hésitation ne dura que quelques secondes, et il fini par s’approcher d’elle prudemment. Il avait beau ressentir qu’elle n’était pas hostile, une telle créature était toujours impressionnante, encore plus éclairée par la seule lumière de la lune. Non loin il remarqua une carcasse de chien et ne pu retenir une grimace. Il se reprit bien vite et décida de signaler télépathiquement sa présence à la gardienne – même si, avec ses instincts animaux, elle l’avait sans doute déjà senti arriver.

« Je ne suis pas le seul à profiter de cette nuit claire on dirait… »

Il s’approcha un peu plus près, et se positionna de façon à être éclairé par la lune, pour que Rexia puisse le voir. Un rayon clair se reflétait sur son crâne chauve qu’il n’avait pas prit la peine de coiffer d’une perruque. Il doutait fortement que son interlocutrice du soir ne prête un quelconque signe d’intérêt à la manière dont il était coiffé, ce qui n’était pas le cas de la plupart des humains, en particuliers des filles. On avait beau être l’un des plus brillants professeurs en génétique de son air la drague n’en était pas moins compliquée lorsqu’on était dépourvu de capillarité. Charles fit légèrement la moue.

Il attendit la réponse de la dragonne en respirant calmement l’air pur autour de l’institut. L’endroit avait beau ne pas être si éloigné de la ville, on se serait réellement cru dans un autre monde, et Charles Xavier se félicita d’être le détenteur d’un tel endroit. Bien évidement il aurait mieux valu qu’il félicite ses parents, si encore ceux-ci lui avaient montré un quelconque signe d’intérêt. Le professeur éloigna ces pensées de sa tête, il ne voulait pas réfléchir à ça maintenant.

Il se posta bien droit, les bras croisés derrière le dos, et leva les yeux vers le ciel. C’était réellement une nuit magnifique peuplée d’un millier d’étoiles. Le professeur soupira légèrement. En réalité, et malgré ce qu’il pouvait dire à Erik pendant les entrainements, il était fatigué et ne savait pas vraiment pourquoi il ne parvenait par à dormir, mais ce magnifique spectacle valait bien la peine d’être sorti de son lit ce soir.
Charles XavierCharles XavierMessages : 19
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MessageSujet: Re: [Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre] [Sur le Toit de l'Institut] Les étoiles dans les yeux... [Libre] EmptyVen 22 Juil - 15:18

    Combien de temps la jeune créature avait-elle bien pue passer ainsi, couchée sur le béton froid et humidifié par la rosée nocturne, le museau levé et le regard perdu à travers les étoiles ? Elle l'ignorait elle-même, et en faite, pour tout vous dire, elle s'en fichait comme de sa première mue. Il se pouvait que ça est été seulement dix petites minutes, mais il se pouvait aussi que ce soit plus d'une heure entière... lorsqu'on était, comme elle, dans un tel état de transe agréable, le temps avait beau toujours avoir autant d'emprise sur votre corps, votre esprit en était libéré, à tel point que vous le voyez pas ni ne le sentez pas passer. Et Rexia aurait pue facilement rester ainsi durant des heures entières, tellement elle se sentait bien, jusqu'à ce qu'elle s'endorme et qu'elle ne glisse dans le pays de ses rêves, si seulement ses dons naturels, ses sens extrêmement développés, ne l'avaient pas prévenus d'une présence étrangère tout près de sa position... au font, ce n'était pas forcément une si mauvaise chose, car imaginez que ça est été une personne avec de mauvaises intentions, voulant lui faire du mal, et bien elle se serait retrouvée dans une sacrée position de faiblesse en ne s’apercevant qu'il était là qu'au moment où il s'en serait pris à elle. Son instinct de survie aurait bien besoin d'un petit coup de jus...
    Le lézard géant fut donc tiré de ses pensées lorsqu'elle ressentit qu'elle n'était pas la seule à avoir voulue passer une nuit sur le toit de la grande bâtisse. Une langue longue et rouges fouetta l'air, et ainsi elle "goûta" les odeurs qui flottées autour d'elle, afin de les emmener directement à son cerveau, pour qu'il les analyse... et elle reconnut celle si particulière de Charles Xavier. Je dis particulière, mais au fond, toutes les odeurs étaient particulière, du moins pour elle... Rexia était capable d'identifier le parfum d'une personne comme étant son identité, elle les connaissait encore mieux que les prénom. Doucement, elle tourna son museau vers lui... le deux-pattes se trouvait à quelques mètres, et s'approchait doucement, un peu hésitant. Elle leva les yeux au ciel... elle savait très bien qu'elle était une bête impressionnante, avec sa taille, mais surtout avec ses griffes tranchantes et ses crocs pointus. Mais elle avait pensée que celui qui l'avait invité à venir vivre dans cet institut ne se montrerait pas aussi méfiant que les autres. Ne lui avait-elle donc pas déjà prouvée qu'elle n'était pas du genre à attaquer pour rien ?
    Fin bon, Charles sembla finir par mettre de côté son impressionnante stature, vint se placer à côté d'elle et lui parla... enfin, oui et non : il pénétra télépathiquement son esprit, afin qu'ils puissent bavarder tranquillement, bien que l'animal ne soit pas capable de formuler des phrases par elle-même. Rexia n'aimait pas beaucoup cette façon de faire, elle avait l'impression que l'on violait les limites d'un territoire vraiment très personnel, mais elle ne râlait pas lorsqu'on le faisait, car c'était-là le seul moyen que les deux mutants avaient pour communiquer. Le deux pattes s'annonça en disant qu'il n'était pas le seul à vouloir profiter du clair de lune... et cela eu pour effet de faire lâcher un très léger grognement à la bête, en lui faisant secouer la tête. Ce n'était absolument pas une menace, c'était juste sa façon bien à elle de ricaner, et pour être sûr que son ami ne le prenne pas de travers, elle lui envoya ses pensées amusées...


    *" Oui, je suppose que je ne suis pas la seule à préférer me retrouver en hauteur pour admirer les étoiles, plutôt que de me balader au clair de lune sur les chemins du parc, de toute façon trop petits pour moi... "* Dit-elle d'un ton sarcastique, car elle avait bien évidemment devinée que Charles n'était pas monté ici au milieu de la nuit pour rien : c'était-elle qu'il voulait voir. Et ce n'était pas forcément à mal : Rexia souffrait d'insomnie depuis déjà plusieurs jours, ça lui faisait plaisir d'avoir quelqu'un pour lui tenir compagnie, et, toujours à travers le lien psychique que le bipède avait ouvert entre-eux, elle lui communiqua sa gratitude.

    La Dragonne leva vers le visage du propriétaire de son territoire ses yeux d'ambres, essayant de le regarder en face, bien qu'elle soit légèrement plus petite que lui lorsqu'elle était couchée. Il était habillé avec un pantalon noir et une chemises bleu pale... le genre d'habits difficiles à distinguer dans la nuit, il passait presque inaperçu, comme ça. Heureusement que les rayons de la lune se reflétaient sur sa peau blanche... même si au font, Rexia n'en avait pas besoin. Le Professeur X semblait parfois oublier que la gardienne possédait des sens hyper développés, et que de ce fait, elle était nyctalope. Même lors des nuit les plus sombre, elle était capable de voir aussi bien qu'en plein jour.
    Charles, lui, de son côté, restait debout, et observait à son tour le ciel étoilé. La bestiole ne comprenait pas ce que les humains pouvait avoir à toujours vouloir rester debout, comme-ça, alors qu'il était beaucoup plus agréable de discuter assis, ou couché, comme elle, elle l'était à ce moment-là. Lorsqu'elle ne bougeait pas, l'écailleuse aimait bien se mettre dans une position confortable. Certains deux-pattes considéraient que c'était malpolie dans certaines situation... mais elle s'en fichait, au font, elle n'était pas une membre de leur espèce, ce qu'ils considéraient comme étant malpoli était quelque-chose de normal, pour elle. A son tour, Rexia releva la tête vers le ciel... si elle avait eue des lèvres, elle aurait sans doute eue un petit sourire au coin de celles-ci. Elle pensa alors à l'adresse de Charles, sur le ton de la conversation :


    *" J'adore observer les étoiles, c'est quelque-chose qui me détend vraiment beaucoup. J'avoues que vu la beauté du ciel, je ne regrette pas d'avoir du mal à m'endormir... "*
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